Je me KAMTCHOUANG CEDRIC MAGLOIRE, né le 24 Juin 1991 à Mbô Bandjoun. En effet je suis titulaire d’un Master 2 en cinéma et audiovisuel spécialité production à l’Institut des Beaux-Arts de l’Université de Douala à Nkongsamba, durant mes 5 ans d’étude, j’ai eu à produire trois films de court-métrage : Désespoir ; Cauchemar, A la croisée des mondes. Mon ambition est celle d’apporter ma modeste contribution au développement des cinémas africains en général et camerounais en particulier via les différents moyens de rentabilisations de leurs produits cinématographiques et audiovisuels.
Institution
IBA-Université De Douala
E-mail
magloirekamtchouang@gmail.com
Téléphone
698 726 756
Adresse
- ,
Titre
Catégorie
Encadreur/Éditeur
Année
Action
Marche Cinematographique : Exploration Et Perspectives De Rentabilisation Des Produits Cinematographiques Camerounais
Mémoires
Annette ANGOUA NGUEA, IBA-Université de Douala
2023
Marche Cinematographique : Exploration Et Perspectives De Rentabilisation Des Produits Cinematographiques Camerounais (2023)
L’industrie cinématographique actuelle est en plein essor dans plusieurs pays occidentaux et Africain, chacun d’eux a mis sur pied un ensemble d’éléments qui facilite son développement et son expansion. Face à ceci les cinéastes camerounais se retrouvent dans un environnement cinématographique déstructuré, dominé par les étrangers et difficile à la production, la distribution et l’exploitation. Cependant dans ce contexte peu propice à la rentabilité des films locaux, il est curieusement constaté une recrudescence des productions cinématographiques. Face au problème de la non rentabilité des films camerounais produits dans des conditions si difficile, notre mémoire s’intitulant « Marché cinématographique : exploration et perspective de rentabilisation des produits cinématographiques camerounais » se positionne pour étudier les pratiques, comprendre son fonctionnement, afin de proposer quelques solutions qui permettraient aux cinéastes camerounais de s’épanouies. De ce fait, sur quels aspects de la production le producteur capitalise-t-il pour rentabiliser ? De cette question principale émane l’hypothèse selon laquelle le producteur par sa vision, influence toutes les étapes de la production, allant de l’idée jusqu’à l’exploitation. Pour mener à bien nos recherches, passant par la méthode empirique, nous allons identifier les réels problèmes qui empêchent au cinéma camerounais d’être rentable. De ces problèmes, prennent en bonne place la mauvaise qualité des films, l’absence d’un marché local, et le problème de financement. D’où la nécessité de former les spécialistes du cinéma, créer un marché local et sollicité l’accompagnement de l’État. Et nous finissons ce travail par la réalisation d’un projet professionnel.
Mots clés : marché cinématographique-mix marketing-production-distribution-exploitation- média-Spectateur